En 1369, au cœur de la guerre de Cent Ans, Bertrand du Guesclin s’illustre lors de la bataille de Montiel, dans le sud-est de la Castille. Face à lui se dressent une coalition pro-anglaise, composée des forces portugaises alliées aux partisans de Pierre Ier le Cruel, roi déchu et contesté de Castille.
Grâce à sa tactique habile et à sa maîtrise du terrain, Du Guesclin parvient à encercler et défaire l’armée ennemie, infligeant une défaite décisive à ses adversaires. Cette victoire ne se limite pas à un succès militaire : elle renforce l’influence française en Castille, consolide les alliances de Du Guesclin avec les forces castillanes loyalistes et contribue à affaiblir la position anglaise dans la péninsule ibérique. La bataille de Montiel demeure ainsi un exemple marquant de guerre stratégique et de l’efficacité des méthodes de Du Guesclin, fondées sur la mobilité, l’embuscade et la discipline des troupes.
Pour briller en société :
- Bertrand Du Guesclin
- Henri de Trastamare
- Pierre le Cruel
- Défaite de la coalition anglo-castillane
- Un allié sur le trône de Castille
Une fessé en bon et dû forme
Cette bataille oppose d’un côté Bertrand Du Guesclin et Olivier de Mauny face à une coalition d’anglais et de castillans. Autant dire qu’après avoir bataillé dans tout le royaume, le choc allait être une affaire rondement menée pour l’armée du royaume de France et ses alliés.
L’enjeu est de mettre un homme de confiance sur le trône de Castille et de réduire à néant les ambitions anglaises. La bataille a lieu sous les remparts du château de l’Étoile.
La bataille se déroule sans accroche. Les troupes française domine le combat et inflige de lourdes pertes chez l’ennemi. Bertrand Du Guesclin et sa force mettent fin aux prétentions des anglais et de leurs traîtres d’alliés.
La bataille de Montiel est une victoire sur les anglais et change le contexte géopolitique de l’époque. Bertrand Du Guesclin prend sa revanche sur la bataille de Naveja où il fut capturé. Montiel restera la bataille la plus meurtrière de sa carrière selon Georges Minois dans Du Guesclin
Après la bataille de Montiel, Trastamare
Plus tard, on apprendra que lors d’une escarmouche, Henri de Trastamare, notre homme de confiance, tue son rival. Tout va bien qui fini bien pour les français, des rosbeefs morts, un allié sur le trône de Castille et une revanche de prise sur les godons.


